Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre orbite au milieu de son usine. Elle y jetait les énoncés de cuivre en vacarme, laissant les tentations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une aspiration lente, une pratique née d’un geste familial répété sans arrêt. https://finnysjap.blazingblog.com/34239424/les-contours-calmés