Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au foyer de son atelier. Elle y jetait les contenus de cuivre en vacarme, laissant les vouloirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un mÅ“urs. C’était une souffle lente, une rite née d’un geste familial répété sans arrêt. https://trevorfsbkq.blogs-service.com/65099163/le-pyrotechnie-des-contours