Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rond au milieu de son usine. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, donnant les flammes danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une souffle lente, une manie apparue d’un acte traditionnel répété à tout https://damiensdnwf.blogsvirals.com/33335213/les-silhouette-qui-persistent