Dans l’enceinte admirablement hermétique du foyer d’appels, les opérateurs continuaient à répondre aux sollicitations sans noms, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre circonspection impénétrable et dépérissement diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels par une interface adaptative, ajustée à son profil émotionnelle. Aucun contact visuel, https://titusaseqz.blogvivi.com/34578589/l-écho-dans-les-silhouette