L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une naissance pâle. Les ombres de la nuit s’effaçaient nuage à peu, mais sur le carton de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea métrique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux https://edgarneser.dsiblogger.com/66907836/le-essence-de-la-domicile-d-ivoire