Dans l’atelier feutré d’un tailleur parisien, les aiguilles glissaient avec une rigueur méticuleuse sur les étoffes de soie et de laine. Chaque couture était un serment silencieux, chaque cours tissé une de fiançailles confectionnée à celle qui porterait le tenue. Pourtant, pendant quelque années, quelque chose troublait l’artisan. Il avait https://jaspernwgam.therainblog.com/32790515/les-fils-du-avis