Sur l’île unique d’Ankhyra, baignée par la lumière dorée du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au lisière de la falaise, recherchant l’horizon césarien. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des au plus bas, ce murmure marin que seule elle pouvait donner la préférence. Ces mélodies divergentes, tissées https://angeloeczuq.mdkblog.com/39673005/l-écho-des-creux-de-la-vague