Le vent hurlait par les hautes hyères de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite foule de souffrance, un moine s’éclairait à la explication vacillante d’une chandelle. La argenture était emplie de l’odeur du parchemin traditionnel et de l’encre https://voyance-par-mail-avec-pho45689.like-blogs.com/33610946/le-manuscrit-des-âmes-errantes