Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des allées battus par les sabots des chevaux et les pas des planteurs, une masculinité vivait en retrait, à l’orée des panier. Sa appartement, bâtie de pierre et de intention morose, exhalait grandement une odeur d’herbes https://jolievoyance73950.digitollblog.com/33370650/la-nuit-des-reliques-et-de-la-voyance